Quelques questions fréquentes pour vous aider à savoir si la thérapie peut vous être utile
Il n’est pas toujours facile de savoir à quel moment commencer une thérapie. Parfois, on traverse une période difficile, on sent que quelque chose ne va pas, sans forcément pouvoir le nommer. D’autres fois, un événement, une crise, une souffrance précise nous pousse à chercher de l’aide.
En Gestalt-thérapie, je vous accueille là où vous en êtes, avec ce que vous vivez. Mon rôle est d’offrir un espace sûr, bienveillant, sans jugement, où vous pouvez déposer ce qui vous pèse, mettre de la clarté sur ce qui vous traverse, et retrouver du sens, du mouvement, de la liberté.
Voici quelques situations pour lesquelles mes clients viennent me consulter :
❓ “Je ne vais pas si mal, mais je sens que quelque chose ne va pas. Est-ce que ça suffit pour consulter ?”
Oui. Il n’est pas nécessaire de toucher le fond pour entamer une thérapie. Une sensation diffuse de mal-être, l’impression de ne plus avancer, de ne plus se reconnaître, peuvent être des signaux importants. Consulter, c’est déjà prendre soin de soi.
❓ “Je vis une période difficile, mais je n’arrive pas à mettre des mots dessus.”
C’est justement le rôle de la thérapie : offrir un espace où ce qui n’a pas encore été nommé peut émerger. On peut traverser une crise sans comprendre pourquoi – je suis là pour vous aider à faire de la clarté, doucement, avec bienveillance.
❓ “Je répète les mêmes schémas dans ma vie, et je ne sais pas comment en sortir.”
Quand des situations se répètent (relations conflictuelles, sentiment d’être toujours mis·e de côté, peur de l’abandon…), c’est souvent qu’une part de notre histoire cherche à être reconnue. La Gestalt permet de mettre en lumière ces mécanismes, sans jugement, et d’ouvrir de nouveaux possibles.
❓ “Je n’ai pas confiance en moi, je me sens fragile, pas à ma place.”
Beaucoup de personnes viennent en thérapie pour ces raisons. Ce manque de confiance est souvent enraciné dans des vécus anciens, parfois invisibles ou banalisés. En thérapie, on peut réapprendre à s’estimer, à se respecter, à sentir qu’on a le droit d’exister pleinement, et l'autre aussi.
❓ “Je suis en couple, mais je doute. Infidélité, manque de dialogue, perte de lien… Je ne sais plus.”
La thérapie individuelle peut vous aider à faire le point sur votre relation, à comprendre ce que vous vivez, vos besoins, vos peurs. Il ne s’agit pas de trancher vite, mais de retrouver de la clarté et de la liberté intérieure.
❓ “Je suis parent, et je me sens débordé·e, coupable ou impuissant·e.”
La parentalité réveille souvent notre propre histoire. En thérapie, vous pouvez déposer vos inquiétudes, questionner vos automatismes, comprendre vos réactions, et trouver des ressources nouvelles pour être en lien autrement avec vos enfants.
❓ “J’ai vécu une maladie grave, ou j’en vis une actuellement. Est-ce que la thérapie peut m’aider ?”
Oui. Une maladie grave – qu’on en soit guéri·e ou non – bouleverse profondément. Elle confronte à la peur, au corps, à l’impuissance, à l’essentiel. Le cadre thérapeutique peut offrir un lieu d’expression, de reconstruction, de traversée.
❓ “J’ai grandi dans une famille où il y avait de la violence, du silence, ou une ambiance toxique.”
Même si ces vécus sont anciens, ils impactent bien plus la vie adulte que ce qu'on peut penser : dans les relations, dans l’estime de soi, dans la peur du conflit ou du rejet. La thérapie est un lieu pour réparer, pas à pas, ce qui n’a pas pu l’être à l’époque.
❓ “J’ai l’impression que tout est figé en moi. Comme si je ne vivais pas vraiment.”
Ce sentiment d’être bloqué·e, absent·e à soi, est plus courant qu’on ne le croit. En Gestalt, on travaille à remettre du mouvement là où tout semble arrêté. Retrouver son élan, son souffle, sa capacité à ressentir et à agir.
Ce qui est souffrant, ce n'est pas ce que nous mettons à jour durant le processus thérapeutique, mais tout cela même qui est déjà là, enfoui, dissimulé, et qui agit dans l'ombre.